Alain Niclas de la Régionale de Nantes nous fait parevenir ce message:
A.P.B.G. Régionale de Nantes.
Site national : www.apbg.org
Chers collègues, A propos de l'émission de TV France 3: du mercredi 24 août 2011 Enquête sur le Nil, nous avons reçu de notre collègue alsacien, Claude Stollé, congressiste du mois de juillet dernier, des éléments de géologie qui pourraient vous intéresser, collationnés après la découverte d'un filon de dolérite lors du Congrès APBG de Reims l'an dernier, et un voyage en Egypte.
Claude Stollé est "Professeur de SVT retraité (Lycée de Saverne Alsace) et très fidèle à l'APBG (Régionale de Strasbourg: 37 ans)".
Il écrit :
"J'occupe mes soirées à d'autres sujets de recherches, je travaille sur le sujet: " la vie après la crise" à partir de la faune de Messel en Allemagne. j'’organise aussi des randonnées de plusieurs jours pour une Amicale du Lycée Kléber de Strasbourg dans le vignoble alsacien avec un ami géologue: vignes, vins et Terroirs (géologie et œnologie); la prochaine concernera le vignoble bourguignon en 2012.
Si vous êtes intéressé, je peux vous envoyer de temps en temps des mails qui me permettent de faire la synthèse de mes recherches livresques et de terrain".
Adresse: Claude Stollé, Résidence du Parc du Château ( des Rohan ) 4, rue du Zornhoff 67700-SAVERNE.
Mèl : Claude STOLLE <stolle.claude@orange.fr>
Cordialement,
Alain NICOLAS, Secrétaire de la Régionale.
Message De : "Claude STOLLE"
Objet : Assouan: carrière de l'obélisque inachevée: recherche documentaire.
Préparation de l'émission de TV France 3: du mercredi 24 août 2011 Enquête sur le Nil
http://programmes.france3.fr/des-racines-et-des-ailes/index-fr.php?page=emission&id_article=1316
ENQUÊTE SUR LE NIL, Mercredi 24 août à 20h35
> ENQUETE SUR LE NIL : LES SECRETS DES PHARAONS BATISSEURS
>
> Un documentaire écrit et réalisé par Frédéric Wilner
> Une coproduction : Eclectic Production, France Télévisions - pôle France 3
>
> Plus encore que le récit d’une fouille, "Enquête sur le Nil" relate une aventure archéologique exceptionnelle qui s’est déroulée sur plus de deux années et a mobilisé le concours de deux
équipes de scientifiques.
>
> Les premiers sont Egyptiens : ce sont des spécialistes de la fouille sous marine (ils appartiennent au centre d’archéologie d’Alexandrie) et ils réalisent la première exploration
subaquatique du Nil.
> Le Nil fut la première autoroute de l’histoire de l’humanité : c’est par bateau que la plupart des objets les plus spectaculaires furent convoyés vers les grandes cités du royaume. D’où
la mission des archéologues égyptiens qui commencent leur travail par la cité d’Assouan. Ensuite, direction le Djebel el Celcileh : un paysage de rêve -illustration parfaite de l’image du
Nil éternel-, où se trouvaient autrefois les grandes carrières de grès.
> A Assouan et au Djebel el Celcileh, les archéologues vont faire de belles découvertes : ports antiques engloutis, colonnes romaines ou pyramidions d’époque pharaonique, auxquels il faut
ajouter des dizaines de céramiques antiques, ainsi que plusieurs blocs inscrits et décorés, vestiges d’un temple englouti…
>
> La deuxième équipe est conduite par un archéologue français, Philippe Martinez, chercheur au CNRS, et par Kevin Cain, un Américain passionné
d’image numérique appliquée à l’archéologie. C’est une équipe internationale : outre des Américains, elle comprend aussi un Japonais et une architecte d’origine égyptienne.
> Sa mission est parallèle et complémentaire de celle des plongeurs. A l’aide des technologies les plus modernes, il s’agit de comprendre comment les hommes de l’antiquité sont parvenus à
tailler avec des moyens très rudimentaires de gigantesques blocs de granit et de grès pesant quelquefois plus d’un millier de tonnes, et à les transporter, sur plusieurs centaines de kilomètres,
en suivant le cours du Nil et sur un temps relativement court.
>
> Cette fois, la recherche se déroule à terre, dans les légendaires carrières des pharaons où furent taillés les obélisques et les statues colossales qui firent la gloire de l’Égypte
antique.
> L’équipe trouve des réponses surprenantes à ces questions étonnantes. Réponses qui sont illustrées dans ce film documentaire, par de spectaculaires images de synthèse. Mais les archéologues
réalisent également de très belles découvertes...
> Autre surprise de taille : la découverte d’une stèle monumentale dédiée à Ramsès II, dans les carrières du Djebel el Celcileh. Elle comprend de très belles inscriptions et
représentations, d’une qualité digne des plus grands musées du monde.
> Elle nous offre un précieux témoignage du travail des ouvriers du plus grand pharaon du Nouvel Empire dans les carrières royales. Prélever la pierre de la montagne était alors l’un des
gestes les plus sacrés qu’un homme puisse accomplir.
A ce courrier M. Stollé nous joint un document de plusieurs pages( trop long pour être mis sur ce blog),
il contient de nombreuses informations sur les roches utilisés.
Ce document (sous word) peut être demandé à apbg.rennes@laposte.net
M.Bonnot
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